Houillez houillez braves mineurs ! Nous, Cosette Bronsky, avons l'honneur de vous présentez cette toile, peinte avec fougue et colère, dénonçant sans détour les vices de la société phallocrate dans laquelle nous vivons.
Souvenons-nous des paroles christiques : "En vérité, en vérité je vous le dis,celui qui reçoit celui que j'aurai envoyé me reçoit, et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m'a envoyé". Nous proposons en ce jour une interprétation du verbe divin : par ces paroles si obscures, le Fils du Très Haut ne voulait-il pas simplement nous dire, "C'EST CELUI QUI LE DIT QUI Y EST". Au regard de cette révélation, vous comprendrez la profondeur de l'Oeuvre qui illumine vos pupilles en cet instant de grâce.
BTW : l'artiste a choisi de représenter son sujet en lui donnant ses propres traits.
Ach, je la trouve déjà beaucoup mieux avec une moustache. Mais ma foi, elle n'est tout de même pas assez dure et vigoureuse.
RépondreSupprimerEnfin, c'est mon avis et il n'engage que moi.
Je vais d'ailleurs m'engager dans les profondeurs de l'Œuvre de ce pas.
Si la moustache ne fait pas l'homme, elle fait la femme, disait Marie-Antoinette au seuil de se faire têtement circoncise ...
RépondreSupprimerEn effet, ce trait de poils labiaux concrétise cette fameuse phrase de Charles V "certa scientia, plena potestas, auctoritas regia"
Merci à l'oeuvrier !