
Bonjour, masse incultes et laborieuse,
Ici Zu Wittenstein, ton fidèle Max.
Nous ne t'oublions pas.
Nous ne t'oublions pas.
Ce matin, après m'être dégagé des bras moites et engourdis de Morphée (une de mes bitches), avoir rincé mon corps d'éphèbe dont chaque poil vibrait encore de mes ardeurs nocturnes et fait résonner le CLAC! sec et autoritaire de mon Calvin Klein, je me suis dirigé d'un pas fier et sur vers ma rutilante mailbox, où je trouvais des nouvelles aussi fraîches que mon café est noir.
Mon très cher Benjamin continue son périple, pour notre plus grand plaisir, et ne romps pas la correspondance.
On l'en remercie.
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Sacré Benji, toujours là ou on ne l'attend pas. En l'occurrence encastré dans un muret en pierre...
RépondreSupprimer... d'ailleurs la charmante personne se trouvant juste derrière a l'air de le vivre assez mal, ou peut être est-ce à cause du micro avec lequel Benji manque de s'étouffer ? A voir.
RépondreSupprimerIl est ouf ce type.
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